dimanche 30 novembre 1980

N° 5, novembre 1980








Glissé au centre de ce numéro, un poster 2 pages d'une photo de Gonzague Zéno, contacté après avoir vu un de ses montages sur la pochette du très beau 45 tours Toute une vie sans te voir et qui m'a gracieusement donné un tirage. Egalement, deux pages photocopiées.



Fin 1980, Harmonies est maintenant imprimé par WEA, qui y insére une page d'autopromo comme justification (dans ce numéro, l'album de Bernard Swell). J'aime bien ce numéro, plus varié que le précédent, et dans lequel j'avais tenu à parler des concerts de Michel Berger et d'Alain Chamfort, malgré le temps écoulé entre leurs dates et la parution de ce numéro.
Ne pas avoir pu rencontrer Michel Berger est évidemment un immense regret. Cette année-là, quelqu'un de bien intentionné me donne un numéro de téléphone pour essayer d'avoir une interview. Au bout du fil... France Gall. J'étais tombé Villa Beauséjour ! J'explique que je souhaiterais faire une interview de Michel pour un "petit fanzine musical" et très gentiment, elle me répond qu'il vaut mieux joindre leur attaché de presse pour cela, et qu'ils sont "toujours prêts à aider les journaux qui démarrent." Croisant un peu plus tard Grégoire Colard (leur attaché de presse, donc) au Palace, je lui demande sans trop y croire s'il y a un espoir d'interview, détaillant ce qu'est Harmonies. Il me répond que
bien sûr "la porte est fermée". Et lorsque je lui dis que pourtant, dans les chansons de Michel "la porte est grande ouverte", il me répond : "Si vous travaillez pour Véronique, vous savez ce qu'il en est". NB : Grégoire Colard est aujourd'hui un ami, co-auteur d'une intéressante bio de Michel Berger (L'étoile au cœur brisé, octobre 2009).
Dans ce numéro, une rapide rencontre avec Violaine, sœur de Véronique. En relisant ses réponses, je suis encore frappé par sa grande capacité d'analyse. Elle a le don de faire le tour de chaque question, de se positionner selon plusieurs angles, d'anticiper certaines réactions. Pas de fausse modestie, pas de pêche aux compliments, un juste équilibre...
Avec ce numéro, l'arrivée de Catherine Dréano, qui prend des photos mais n'écrit pas.



Le "clap-man" pour Je suis la seule au Rendez-vous du dimanche. © LC


Véronique et Bernard dans les coulisses des Rendez-vous du dimanche. © LC


Dans la loge du Théâtre de l'Empire, Palmarès 80, septembre 1980. © LC


Avec Marie-Paule Belle sur le plateau de Avis de recherche
présenté par Patrick Sabatier.
© LC

Ci-dessous, les Lettres 4, 5, 5 bis et 6.


lundi 31 mars 1980

N° 4, printemps 1980










Retour à la case impression en offset pour ce numéro et tous ceux qui suivront dorénavant. J'ai enfin appris à tirer profit du bouton réduction sur la machine à photocopier, ce qui permet de mettre le texte sur 2 colonnes, un peu plus lisible quand même... Côté mise en page, je commence à obliquer un peu les titres (ça va s'accentuer dans le n° 5), c'est la mode début 80 (cf. Actuel, que je lis à l'époque).
Pour le violet de la carte (je n'en n'ai jamais vue une seule remplie) ou les étoiles, par contre,
on dirait que je suis resté scotché aux années 70...
J'adore cette photo sur la couverture, même si le tirage a pas mal de grain, Olivier Steffen a su appuyer au bon moment.


Après la sortie du journal, ces quelques Lettres photocopiées - la première étant vaguement obsolète, parlant du numéro 4 comme étant tiré sur photocopies... alors qu'il a été imprimé en offset...



Colette Sanson, Katia et Véronique au 5e étage © Christopher Stills

Véronique et Katia à l’aéroport en janvier 1980 avant le départ pour l’Allemagne. © LC

© Catherine Dréano

 © Ludovique Garotin

Les photos d'Olivier Steffen :